The Politico-Economic Reformation of Political Parties and its Effects on the Democratic Process in Cameroon: Challenges and Opportunities
- April 25, 2022
- Posted by: RSIS
- Category: IJRSI
International Journal of Research and Scientific Innovation (IJRSI) | Volume IX, Issue III, March 2022 | ISSN 2321–2705
Pada Bodianga Valery
Assistant Lecturer, Faculty of Law and Political Science
University of Bamenda
Abstract: The leading controversial idea that instigated us to study and research on the existing interaction between social mobilisations and politico-economic reforms that gave birth to political parties in Cameroon is as a result of it promotion and recommendation as a solution to politico-economic crisis by neoliberals. The logic here being an ushering of a double cornice into the Cameroonian political scene, obliging them to follow the same path in what Michel DOBRY calls “democratic and capitalist transition” or what Jennifer WIDNER calls “economic change and political liberalisation” into a case at hand like the Cameroonian political landscape confronted with managerial crisis and having proceeded with a centralised governing policy since her independence in the 1960s. Political parties are the life wire on which democracy thrives. Whether dictators or communist political systems, all political leaders want to identify with the democratic system of government in this 21th century. This article seeks to find answerers to the question on the usefulness of political parties in Cameroon and whether after more than two decades of democratic politics in Cameroon, parties have fulfilled the goals for which they were created? What has been the different political and economic reform that has help political parties have an impact on the democratic process of the Country? The use of a dualistic research model reveals that the relationship between social mobilisation and economic reforms (liberalisation) in Cameroon’s politics is characterised by what Arnold WOLFERS calls in his analytic and conceptual model “discord and collaboration”/ “antagonism and harmony”. The revelation concluding our findings settles on both compatibility and tensions between political and economic reforms of political parties. Hence, the expected political transformation and social relief is compromised and cannot be entirely guaranteed.
Résumé: Le fait polémique majeur ayant conduit à l’étude de l’interaction entre les mobilisations sociales et les réformes économiques dans le domain de la politic au Cameroun, est le constat de la préconisation, voire de la recommandation de leur jumelage comme solutions par les néolibéraux. Il s’agit d’inciter ou de contraindre l’Etat Camerounais à entreprendre ce que Michel DOBRY appelle «démocratie et transition capitaliste» ou encore ce que Jennifer WIDNER désigne comme étant «le changement économique et la libéralisation politique» dans un cas comme le secteur des partis politiquesn au Cameroun confrontée au crise managérial et ayant procédé depuis les indépendance en 1960 avec une politique de centralisation et de planification au niveaux politique et économiques. les parties politques réprésentaient l’energie electric à travers le quelle une democracy prend vie. Qu’importe le système politiques établis dans un pays (dictature ou communiste), tous leadeur politiques voudraient s’identifier avec le système démocratic du 21e siècle. Cette article recherche des réponses à la question de savoir l’utilité même des parties politiques au Cameroun et aussi de savoir si après plus de deux décennie que le Cameroun a du pratiqué une politique démocratic, les parties politiques ont pu accomplish les buts pour les quelles elles ont été creé? Quelles sont les differents reformes politiques et economique sur les parties politiques qui on eu un impacte sur le processus démocratique du pays? Le recours au modèle dualiste révèle que les relations entre les mobilisations sociales et les réformes (libéralisation) économique au Cameroun sont marquées par ce qu’Arnold WOLFERS appelle dans son modèle analytique et conceptuel «discorde et collaboration». Mieux, la discorde et la concorde sont les deux facettes majeures de l’interaction entre les réformes économiques et mobilisations sociaux au Cameroun. Il s’agit d’un couple ou alors d’un duo dont l’interaction est marquée également par le duel. Le changement politique et le bien-être social recherché s’en trouve alors compromis et relativisé.